Attachée territoriale dans l’Hérault sur des thématiques sociales, j’habite à Montpellier. Au moment de mon congé parental, les sujets climats me sont tombés dessus. La BD « Le monde sans fin » de Jean-Marc Jancovici a éveillé une envie de mobiliser autour de moi. Je me suis impliquée dans une asso locale, Vélocité ; et c’est au sein du groupe local Languedoc Roussillon des Shifters l’été dernier que j’ai découvert la Fresque de la Mobilité.
Qu’est-ce qui t’a amenée à la Fresque de la Mobilité ?
Clémence en plein action !!!
Où et comment fresques-tu ?
Aujourd’hui j’ai changé de job : je suis salariée « Au vieux Biclou », un atelier de réparation de vélo, je gère les relations avec les entreprises où nous intervenons. Je suis devenue animatrice pro et après avoir animé en ligne, je privilégie le présentiel qui implique beaucoup plus les participants, que ce soit à l’Epitech (partenaire des Shifters), ou avec Vélo Cité.
J’interviens auprès de collectivités. J’ai aussi pas mal fresqué dans le cadre de l’Xtrême Défi sur les véhicules intermédiaires.
Qu’est-ce que tu aimes particulièrement dans la Fresque ?
Je me retrouve complètement dans le bouillonnement d’idées et d’info qui caractérise les Shifters en général, c’est très stimulant ! J’adore lire tout un tas de ressources sur la mobilité – vous trouverez quelques suggestions de lecture sur le canal Slack #00 partage- info-documentation.
Ce que j’aime dans le ateliers, c’est l’intelligence collective qui s’épanouit quand on lui laisse la place- ainsi je conseille aux néo-animateurs de savoir s’effacer parfois pour laisser le temps au groupe de proposer ses réponses !